Résumé :
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A lire jules César, on reste pétrifié. Tout est là. Tout ce qui agite le monde actuel, tout ce qui se raconte, se discute et s'imprime : corruption par le pouvoir, vertus et faiblesses de la dictature et de la démocratie, manipulation des foules...
A cette nuance près que de nos jours, déchiré entre les raisons qu'il a de tuer comme d'épargner César, Brutus parlerait de la « problématique du choix ». Au lieu de quoi, il s'écrie : « Quel tyran, pour Brutus, que cette liberté ! » Après tout, chez Shakespeare, c'est mieux dit.
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